Nicolas Guillemette détient un diplôme de maitrise en hydraulique environnementale et d’ingénieur civil et est spécialisé dans le domaine du génie côtier et maritime.

M. Guillemette a participé à une large gamme de projets d’envergure en génie côtier pour la réalisation d’études hydrotechniques, la conception et construction d’ouvrages maritimes, ainsi que pour le développement et la mise en œuvre de stratégies d’adaptation afin de mieux apprécier le risque face aux aléas côtiers en climat futur. Au cours des années, M. Guillemette a également été impliqué à titre de gestionnaire et expert technique pour l’étude et la conception d’ouvrages de stabilisation du littoral, incluant l’évaluation de leurs rôles et de leurs impacts environnementaux et sociaux, la réalisation d’études de navigation, la planification de travaux de dragage et la gestion de sédiments contaminés, ainsi que pour la réalisation de nombreuses études en milieu marin visant la réalisation de divers travaux d’ingénierie maritime, d’évaluation environnementale et d’adaptation face aux changements climatiques. M. Guillemette se spécialise également dans les domaines suivants : analyses météo-océaniques, modélisation hydrodynamique et hydro-sédimentaire, circulation océanique, travaux portuaires, qualité d’eau, restauration d’habitats, cartographie du risque de submersion côtière.

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Jacob Stolle est professeur d’hydrodynamique côtière et fluviale à l’INRS et directeur scientifique du Laboratoire hydraulique environnemental. Avec un intérêt particulier pour la résilience des communautés côtières et riveraines face aux inondations et à l’érosion, son programme de recherche vise à découvrir le potentiel des écosystèmes naturels dans l’atténuation des risques côtiers. S’appuyant sur un ensemble d’outils diversifiés englobant la modélisation physique et numérique, il étudie les complexités des processus côtiers afin de mieux les comprendre et de favoriser des solutions durables.

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Gwénaëlle Chaillou est professeur en chimie marine à l’Institut des sciences de la mer (ISMER) de l’Université du Québec à Rimouski (UQAR) et directrice du Réseau Québec maritime. Elle s’intéresse à la connectivité biogéochimique et hydrologique entre les eaux souterraines et les eaux côtières. Depuis plusieurs années, elle travaille sur l’impact des changements climatiques, et de la hausse du niveau marin plus particulièrement, sur la salinisation des aquifères côtiers, avec une perspective de santé et d’adaptation des communautés côtières.

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Diplômé du département de génie géologique de l’Université Laval, M. Gauthier détient également une maîtrise en sciences de l’eau du Centre Eau Terre Environnement de l’Institut national de la recherche scientifique (INRS). Expert en hydraulique fluviale et maritime, M. Gauthier met son expertise en hydraulique appliquée à contribution pour la conception d’ouvrages de protection des berges et d’ouvrages d’art. En tant qu’ingénieur concepteur, il s’engage dans toutes les étapes des projets d’hydraulique, soit les enquêtes de terrain, la planification et la réalisation des relevés d’arpentage topographiques et bathymétriques, la cueillette et l’analyse de données hydrométriques, les analyses hydrologiques et les calculs et la modélisation hydraulique, sans oublier la préparation de plans et devis pour construction.

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Chantal Quintin détient une maîtrise en Gestion de la faune et de ses habitats de l’Université du Québec à Rimouski. Ses années d’expérience comme professionnelle dans le milieu de la recherche et au sein d’OBNL lui ont permis de développer une expertise dans la valorisation des connaissances scientifiques afin d’inspirer l’adaptation dans un contexte de changements climatiques.
Dès 2015, Chantal a collaboré avec Ouranos en tant que consultante sur des projets du programme Environnement Maritime. Elle rejoint les rangs de l’équipe Transfert des connaissances et formation en 2020.

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Pascal Bernatchez est professeur au département de biologie, chimie et géographie de l’Université du Québec à Rimouski depuis un peu plus de 20 ans. Titulaire de la Chaire de recherche en géoscience côtière, il dirige depuis 2003 le Laboratoire de dynamique et de gestion intégrée des zones côtières. Ses recherches portent sur la quantification de l’érosion et de la submersion côtières, des variations des niveaux marins, du couvert de glace et des changements climatiques et leurs effets sur la sensibilité et la vulnérabilité des zones côtières. Ses travaux portent aussi sur le développement d’outils, de plateformes et de méthodes de télédétection et de géomatique pour quantifier et cartographier les changements côtiers. Il s’intéresse particulièrement aux différents enjeux associés aux aléas côtiers (écologique, transport et cadre bâti, environnementaux, sociaux et culturels) afin de développer des solutions d’adaptation. Son équipe travaille en collaboration avec le gouvernement du Québec à établir pour l’ensemble des côtes du Québec des projections d’évolution côtière et de submersion qui tiennent compte des changements climatiques pour le zonage des risques côtiers. Il est membre des centres d’excellence interuniversitaire Québec-Océan et du Centre d’études nordiques ainsi que du Groupe de recherche sur les environnements nordiques BOREAS.

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David Didier est professeur au département de biologie, chimie et géographie de l’UQAR. Il dirige le Laboratoire d’études des littoraux nordiques et arctiques et compte plusieurs étudiant.es gradué.es et professionnel.les de recherche dans son équipe. Après un doctorat portant sur la cartographie de la submersion par des approches de modélisation dans le Saint-Laurent où il travaille toujours, il mène la plupart de ses recherches en Islande, au Nunavik et au Nunavut dans le Haut Arctique. Il enseigne au Québec et en Islande des cours de géomorphologie et dynamique littorale, périglaciaire et glaciaire, et est membre actif de plusieurs réseaux de recherche dont le Permafrost Coastal Network, le Réseau Québec Maritime et le Centre d’études nordiques.

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Anne-Christine Boudreau est directrice du Bureau de projets en érosion et submersion côtières. Créé en août 2023, ce bureau est coordonné par le ministère des Affaires municipales et de l’Habitation (MAMH) et vise à renforcer l’accompagnement gouvernemental dans la planification de mesures d’adaptation et de résilience en lien avec ces phénomènes, afin d’en réduire les impacts actuels et anticipés. Ce bureau de projets interministériel est complémentaire à ceux relatifs aux inondations, mis en place en 2021. Anne-Christine est aussi directrice du Bureau régional de coordination gouvernementale des Îles-de-la-Madeleine du MAMH, dont le mandat est notamment d’assurer la cohérence des interventions de tous les ministères et organismes devant composer avec les enjeux liés à l’insularité : discontinuité physique du territoire, exiguïté et isolement.

Titulaire d’un baccalauréat en science politique et d’une maîtrise en aménagement du territoire et développement régional, Anne-Christine a d’abord orienté son parcours vers le développement économique des Territoires du Nord-Ouest, puis de la Communauté maritime des Îles-de-la-Madeleine.

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Dominique St-Hilaire est conseillère en adaptation aux changements climatiques au ministère de l’Environnement, de la lutte contre les changements climatiques, de la faune et des parcs (MELCCFP). Titulaire d’un baccalauréat en géographie physique de l’Université Laval et d’un doctorat en géomorphologie côtière de l’Université Memorial, Dominique a d’abord travaillé en tant que professeure universitaire et chercheure scientifique sur des sujets aussi variés que la cartographie de l’interface terre-mer à l’aide de LiDAR et de sonar multifaisceaux, le comportement des recharges de plage en canal hydraulique et l’impact des variations du niveau marin et du couvert de glace sur la morphologie des plages de gravier arctiques. Présentement, ses travaux portent principalement sur les méthodologies de prise en compte du climat futur en lien avec l’appréciation du risque face aux aléas côtiers et sur l’adaptation des communautés côtières du Québec maritime à l’érosion et à la submersion côtières.

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Avec un baccalauréat en géologie de l’Université Laval et une maîtrise en océanographie de l’Université du Québec à Rimouski (UQAR), Jean-Denis Bouchard cumule plus de 25 ans d’expérience en gestion des risques liés à l’érosion et à la submersion côtières, d’abord pour la Conférence régionale des élus de la Côte-Nord, puis pour le module de géographie de l’UQAR, pour le ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs, ainsi que pour le ministère de la Sécurité publique (MSP).

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Jonathan Côté détient un baccalauréat en biologie ainsi qu’une maîtrise en gestion de la faune de l’Université du Québec à Rimouski. Il a agi comme chargé de cours à l’Université du Québec à Rimouski de 2005 à 2009. De 2009 à 2011, il occupait un poste d’analyste au Programme de protection du poisson et de son habitat pour Pêches et Océan Canada. Par la suite, il a rejoint le ministère des Transports en tant que responsable en environnement pour les projets des autoroutes A-85 et A-20. Depuis 2019, il est coordonnateur du Module des aléas naturels et de l’adaptation aux changements climatiques au ministère des Transports et de la Mobilité durable.

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Ursule est géographe-océanographe, coordonnatrice et spécialiste en gestion des risques climatiques à la direction de l’adaptation aux changements climatiques du Bureau de la Transition climatique et énergétique (MELCCFP – Ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs du Québec). Elle détient un doctorat en sciences de l’environnement, a notamment travaillé en adaptation chez WSP Canada (Environnement) et comme cheffe d’équipe chez Ouranos. Elle est aussi professeure associée à l’UQAM sur la prévention, l’adaptation et l’atténuation des impacts des changements climatiques.

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